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Lubumbashi : le Maire de la ville Martin Kazembe prend en charge l'organisation des obsèques de deux personnes emportées par les eaux de pluies au quartier la vallée
Le
maire de Lubumbashi, Martin Kazembe Shula a rendu visite aux familles des
victimes qui sont mortes ce vendredi 17
mars 2023, au quartier la vallée dans la commune annexe après la pluie
diluvienne. Et il promit de prendre en charge l'organisation des obsèques.
Les
deux corps ont été retrouvés ce vendredi 17 mars 2023, sur l'avenue du câble,
dans la commune Annexe. Le premier corps est celui d'une femme du quartier LA
VALLÉE emportée par le courant d'eau de pluies diluviennes qui se sont abattues
dans la nuit de jeudi à ce vendredi 17 mars 2023.
A
en croire plusieurs témoins, c'est en voulant faire traverser ses trois enfants
qu'elle va glisser jusqu'au point de tomber dans un canal créé par des
érosions. Au petit matin, elle est retrouvée sur une distance de plus ou moins
600 mètres à partir du point de glissement.
L'un
de ses trois enfants noyé a été repêché le plus tôt possible par les plongeurs
du quartier y compris deux adultes qui ont eu la vie sauve. Au-delà de 50
mètres, un autre corps d'un jeune homme Papy est à même le sol lui aussi a été
emporté par les eaux des fortes pluies.
Aussitôt
informé de ce douloureux événement, le Maire de la ville de Lubumbashi, Martin
KAZEMBE SHULA est descendu tôt le matin sur le lieu pour partager la douleur
avec les familles éprouvées. Après le constat du parquet, le Procureur a
ordonné la levée de deux corps menacés déjà de décomposition pour inhumation ce
vendredi.
L'autorité
urbaine, Martin KAZEMBE SHULA très touchée par ces disparitions inattendues
décide sur le champ, de prendre totalement en charge l'organisation des obsèques.
Les deux familles des victimes larmes yeux remercient tout de même le Maire
compatissant.
Signalons
que, la vallée est l'un des quartiers de la commune Annexe où règnent les
constructions anarchiques et les têtes d'érosion et plusieurs maisons risqueraient
d’être emportées par les pluies.
Hervé
Kabwatila
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